La chevelure de Charles Baudelaire est un poème en prose qui décrit l’amour obsédant d’un homme pour la chevelure d’une femme. Dans ce poème, Baudelaire utilise les cheveux comme une métaphore pour décrire la beauté, la sensualité, la passion, l’obsession et la mort.
Le poème commence par une description de la chevelure de la femme, qui est comparée à une forêt sombre et mystérieuse, pleine d’odeurs enivrantes. Le narrateur est hypnotisé par les cheveux de la femme, qu’il décrit comme de longues et ondoyantes boucles qui rappellent les flammes des enfers. Pour lui, ces cheveux sont une source d’inspiration et de fascination.
Au fil du poème, le narrateur se perd de plus en plus dans son amour pour la chevelure de la femme, jusqu’à en devenir obsédé. Il voit des visions de la femme partout où il va, même en rêve. Il se rend compte que cet amour est destructeur et dangereux, mais il est incapable de lutter contre sa passion.
En fin de compte, le narrateur est confronté à la mortalité de la femme, mais sa passion est telle qu’il ne peut pas se résoudre à la perdre. Il accepte finalement l’idée qu’il vivra éternellement avec la chevelure de la femme, même si cela signifie la mort de son être aimé.
En résumé, La chevelure est un poème sombre et sensuel qui explore les thèmes de l’amour, de la mort et de l’obsession, à travers la métaphore des cheveux d’une femme.
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